Françoise Niel Aubin, artiste.

  Accepter  de travailler avec de l'argent sale,

c'est nouer ses souliers avec  des spaghettis,

qu'il soient cuits ou qu'ils soient crus,

ça ne mène nulle part.

Du nouveau, sur le sujet ! et puis pas qu'un peu !

 Bien le bonjour à Boris Jonhson, soit dit en passant, qui prend bien les anglais pour des cons, bien au delà de ce qu'on aurait pu imaginer, avec son brexit de merde !

https://www.franceinter.fr/economie/pandora-papers-cinq-ans-apres-les-panama-papers-l-evasion-fiscale-se-porte-bien

 petite remarque...

 Pour ceux qui seraient tentés de ce saisir de ce prétexte pour ne pas aller voter, avec des cris de "tous pourris", je précise simplement qu'ils sont dans l'erreur.

 En effet, il y a 20 ou 30 ans, c'était 50 fois pire, mais simplement, il n'existait aucun moyen de le vérifier, contrairement à maintenant.

Car même si on ne voit pas tout, on en voit bien d'avantage, qu'on ne le voyait avant.

Par exemple, la simple idée de mettre  sur pied une telle cellule d'investigation internationale, comme celle qui a fait ce travail remarquable, ne pouvait exister, que sous forme de fantasme, là où précisément, sous l'effet salutaire, pour le coup d'internet et de la mondialisation, CE FÛT POSSIBLE....

 Et soyez sans crainte, si les hackers, plus particulierement, les chinois, et les russes, aux ordres de leurs dictateurs et démocrateurs, aujourd'hui, tentent d'infiltrer cer tains ordinateurs, menacent de mort ou assassinent, purement et simplement les journalistes d'invesgation aujourd'hui, ça n'est pas pour rien, jutement, c'est parce que cette collaboration absolument exemplaire à l'internationale, est efficace, et ça n'est certes pas leurs usines à fabriquer leurs boites à chaussures metaphore pour designer les montages financiers), qui risquent de les arrêter. Parce que supprimer un journaliste d'investigation, c'est en faire éclore, 10 de plus, à chaque fois,

QU'ON SE LE DISE !

 

Pourquoi Julian Assange est-il toujours en prison ? (pour rien)

Julien Assange, ou la parodie de la Justice.

  Si quelqu'un incarne mieux que quiconque, la notion de martyre, c'est bien lui.

 Mais au delà de ce misérabilisme, qu'il ne cautionnerait probablement pas, son cas interpelle au delà de ce que certains pensent.

https://www.amnesty.fr/liberte-d-expression/actualites/julian-assange-proces-ou-en-est-on

 Humainement et psychologiquement, par le simple phénomène d'empathie je dirai, son cas interroge tout dans notre chemin de vie.

 En ce sens, derriere son combat, c'est le cas, de tous les lanceurs d'alerte, qui aujourd'hui est observé.

    Politiquement ensuite, il représente pour les USA, non pas un gravier dans leurs chausssures, mais plutôt, un énorme silex, aux arêtes bien tranchantes, pareil aux pierres taillées, que mon père aimait tant glaner dans ses champs, quand il cultivait ses terres, qu'il prenait le temps de descendre du tracteur pour les ramasser, et qu'il rentrait pour manger, les poches pleines de ses cailloux...

 Il était passionné par la préhistoire.

Une pierre taillée, dans leurs pompes à glands...

 C'est une jolie métaphore pour commencer la nouvelle année, vous ne trouvez pas ?

 Moi, elle me botte !

    Je détaillais dans un article, je ne sais plus où encore, dernièrement, parce qu'il ne faut jamais renoncer à remettre sur le métier, un ouvrage qui le mérite.

   Il faut observer à quel point desormais, il est devenu indispensable que les multinationales soient transparentes, que les journalistes d'investigation aient libre acces aux conseils d'administration, etc, pour qu'ils puissent mieux connaitre les rouages de ces trusts tantaculaires, précisément, et avoir acces aux intimes relations, qu'ils entretiennent avec les politiques, justement, dans les relations internationales.

 Ce qui est troublant, c'est cette volonté délibérée, de toujours vouloir entretenir le flou... par ce le flou, est assimilable, toujours, à ce que j'appelle, "les eaux troubles".

  Pas besoin d'avoir été académicien, pour comprendre cette métaphore.

 N'est ce pas là, dites moi, une prédisposition, à certaines culpabilités ?

 Personnellement, quand je n'ai rien à me reprocher, ne n'ai rien à cacher.

 Car ne vous y trompez pas, Assanges, Julien de son prénom, n'est pas ce que les extrêmes droites, appellent, "un gauchiasse", qui ne prend plaisir qu'à foutre la merde, au point de faire avaler de travers, une cuillere à soupe de caviar, un soir de reveillon, entre riches dans le gosier des puissants......

   Non non, on peut vous l'assurer... Non, c'est juste un type ordinaire, qui est mu par un sens de la justice plus que les autres, comme le sont, j'en fais aussi partie, même si je n'ai pas son courage, l'ensemble des lanceurs d'alerte.

 OUI, j'ai bien dit, LANCEUR D'ALERTE, vous savez, ceux qui sont aux gros fnanciers, pire qu'un frelon asiatique, face à une ruche, cachée dans un coin de verdure, dans le fond du potager.

 Ce qu'ils sous estiment, par contre, c'est notre détermination.

    Parce que le sens de la justice, est à l'être humain, l'un des valeurs fondamentales, propre à l'enfance, autant dire, une vertu qui est l'essence même de la condition humaine. Autant dire que s'en prendre à ce sens inné de la justice, c'est la renforcer.

 Oui, je prétends que le fondement même de la Justice, est très probablement une caracteritique de l'enfance, c'est ce qui en fait le prix, précisément, plus on s'en eloigne, plus on crache au visage de l'enfant qu'on ait été.

  Que Boris Jonhson, en soit à se demander encore, si oui ou non, il va le livrer aux USA, pour qu'ils en fassent du petit bois, et cautionner les pires comportements, à l'internationale, est une chose.

   J'imagine que le desenchantement lié au brexit, et sa côte de populatrité qui a sacrement du plomb dans l'aile, doit y être pour quelque chose....

   Une chose est certaine, en tout cas, c'est que de ne pas rendre sa liberté, à Julian Assange enverrait un message des plus sinistres à tous ceux, qui sont épris de Justice, et de liberté, et que tuer un Assange, en ferait naitre bien d'autres, et que cette donne doit absolument ne pas être sous estimée par les decideurs, qui sont en charge, de cette affaire, quelque soit le pays concerné.

 

Un jour, à la quarantaine, quelqu'un m'a dit, "toi, artiste , mais pour qui tu te prends ?

Chacun voit midi à sa porte, et demeure effectivement parfaitement libre de mépriser, ce qu'on ne connait pas.

 C'est ainsi, on n'y peut rien.

 Nous n'avons pas à nous justifier, en quoi que ce soit, d'avoir une perception du monde, de notre environnement,  de notre prochain, aussi, si sensible, si pointue, et si particulière, que devant assumer cette sensibilité là, on en soit contraints alors, inévittablement,  afin de pouvoir le gérer, de le transformer, en ce que l'on en décide, selon nos aptitudes...

 Et s'il existe qui que ce soit, qui s'en trouve dérangé(e), ou perturbé(e), vous m'en verez toujours profondément désolée...

Désolée pour vous, qui n'êtes pas artiste, (ce qui est un moindre mal, oups !), mais surtout, qui avez une sensibilité de palourde, au point de nous  mépriser, dans une telle proportion, ce qui vous semble rigoureusement, ors d'atteinte intellectuellement.

 On ne choisit pas information, d'être sensible, ou hyper sensible, on l'assume, et on apprend à gérer.

 Si ça vous défrise, ben, c'est votre problème, mais pas le notre....

 21 janvier 2023.

 Il y a quelques jours, j'ai découvert un film, qui illustre bien, la necessité d'être honnête, et plus particulièrement, en politique.

COULEUR DE L'INCENDIE.

https://www.amazon.fr/s?k=francoise+Niel+Aubin&link_code=qs&sourceid=Mozilla-search&tag=firefox-fr-21

L’ethnopharmacologie est le chainon manquant, entre la biodiversité et la santé publique.

 J’ai travaillé sur ce sujet, il y a bien longtemps, un an ou plus, avant le film « sur la piste du Marsupilami », d’Alain Chabat, qui narre l’histoire d’un chercheur, embauché par un laboratoire pharmaceutique, qui tentait de s’accaparer une plante, dans une forêt primaire, dont les vertus thérapeutiques, permettraient de devenir immortels.

 Autant dire, pour un labo, le graale absolu….

 Oui, on a tous envie d’en rire, n’est ce pas ?

  Quand le film est sorti, il ne s’agissait que de fantasmes, tous juste bons comme dans ce cas, à nourrir, la littérature de science fiction, et inspirer tout ce qui est artistique.

   Soyez sans crainte, j’en connais certains, qui manquent encore et toujours, de sagesse et d’humilité, pour y rêver encore, dans le domaine des gafams, notamment, quand par l’action des metavers, et de l’intelligence artificielle,  ces dernières années, ils tentent, par tous les moyens,  de se rapprocher, le plus qu’ils le peuvent de ce fantasme, qui devrait pourtant sur ce sujet, ne pas se transformer en désir véritable.

   Un jour, il faudra travailler sérieusement, sur la nuance entre les deux, parce qu’il y a beaucoup à dire, sur le sujet.

 Pour le film, dont je vous parle, c’est ici :

https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=174738.html

   Je souris, en relisant le synopsis du film, parce que je vois le décalage, de ce que j’en ai retenu, comparativement, à ce que d’autres peut être, peuvent y voir, et c’est un délice.

   En amont de ce film, j’avais travaillé sur ce sujet pour mettre en avant au sujet de la forêt amazonienne,  (bolsonaro, à cette époque, n’était pas encore arrivé au pouvoir, avec les conséquences catastrophiques sur la forêt amazonienne).

   Alors, j’avais imaginé quel stratagème on pourrait imaginer, pour forcer la main aux politiques, pour les contraindre à considérer les forêts primaires, pour ce qu’elles sont en réalité,  une source inépuisable  de plantes, dont certaines d’entre elles, pourraient un jour, qui sait ? (j’en suis convaincue), sauver l’humanité.

    Les peuples autochtones sont les mieux placés, ainsi que les guérisseurs locaux, pour servir de guides, et nommer les plantes dont il est question.

    J’avais donc fait la proposition suivante :

 Que soit mise sur pied une collaboration entre les eaux et forêts, en France (je vous rappelle, que par le biais de la Guyane française, nous sommes concernés, en premier chef), pour légiférer en ce sens,  de telle sorte que ces connaissances soient non seulement mises en avant, mais aussi,  pour que sur le plan juridique, les autochtones en question voient, leur forêts protégées,  et surtout, que dans l’hypothèse, où par le biais de cueillettes organisées par les autochtones, eux même, (ou pas), ils ne soient pas spoliés de leur droits par les plus gros laboratoires pharmaceutiques, pour engraisser les actionnaires, comme ça se produit partout dans le monde,  au sujet de métaux rares, et des semi conducteurs, ou dans les mines……

   En somme, que ça les protège eux aussi, et pas qu’ils en soient les premières victimes.

 BREF….

 Le film est sorti…

  Je vous le recommande, bien évidemment.

   Si j’y reviens aujourd’hui, c’est suite à la sortie,  d’un ouvrage de vulgarisation, sur l’ethnopharmacologie, qui  a été écrit, par un certain S Piatzszek et illustré par B Blary.

 Il est sorti  chez un éditeur, qui s’appelle, LE QUADRAN, dans une collection, qui s’appelle, LA MEDECINE AUTREMENT. Janvier 2023.

 C’est un objet de tout premier ordre, illustré de très belles aquarelles.

    Par l’intermédiaire du parcours d’un jeune homme, fils de pharmacien et passionné de botanique, qui devient ensuite l’élève  de Jean Marie Pelt…

   On assiste alors à son évolution personnelle,  de sa décision, jeune étudiant en pharmacie, d’aller parcourir le monde pour aller à la découverte des plantes les plus susceptibles de soigner, et herboriser, à l’ambition grandissante de se frotter aux guérisseurs, dans les pays arabes, notamment, et on assiste alors à ces différentes galères, au début, à la pugnacité qui a été la leur, mais surtout, et c’est peut être le plus important, comment, au fur et à mesure, c’est bien d’une méthodologie, purement scientifique dont il est question,  expliqué avec un vocabulaire accessible, en somme, un travail de vulgarisation de tout premier ordre, dont il est question sur ce sujet….

   Ce qui est pertinent, d’ailleurs c’est de croiser ce travail avec des propos qu’avait  tenus Jean Marie Pelt, un jour, dans une émission de Denis Chessoux, sur France inter, « CO2 mon amour », ou il évoquait cette partie du monde, en expliquant que désormais, hélas, vu les guerres qui sévissent, il n’est désormais plus question, de prétendre herboriser dans bien des pays, aujourd’hui, parce qu’ils sont en guerre, et que c’était là son grand regret .

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/co2-mon-amour

  Parce que la biodiversité,  c’est comme le terroir, c’est une affaire de temps, dans ces deux secteurs, désolée, mais on ne casse pas le sablier…

 Ayant sélectionné la poule de Pavilly, je connais mon sujet…

   A chacune des guerres, je pense à 14/18, ou 39/45, ici, en Europe, la sélection des volailles, régressait toujours, et pour cause, quand il s’agit de sauver sa peau, et ne pas crever de faim, on est aux antipodes, d’être en condition pour s’éterniser à l’observation scientifique, ou la sélection empirique, pour sélectionner une race, ou mettre au point un nouveau produit, par exemple, ou un nouvel aliment.

 La recherche elle, alors, régresse, sur le terrain de guerre.

 Pendant ce temps, les marchands d’arme, eux, se font des c…. en or.

  Aujourd’hui, sous l’effet du covid 19, qui n’est que l’avant-garde, de ce qui nous attend, si l’on observe à quel point sur place, la pharmacopée, est dévastée par l’exploitation, des forêts primaires, dont il est question, on voit les plus grand laboratoires mondiaux mettre sur pied les vaccins et assécher, parallèlement, les finances publiques, chez nous, la Sécurité Sociale….

   Parallèlement à celà, aux antipodes des politiques, de ces labos, les dictateurs avec leurs propres laboratoires, fabriquent eux aussi leurs vaccins…

    Il parait même qu’aux dernières nouvelles, certaines fenêtres auraient été mal fermées, et qu’un certain, « Covid », un homonyme, je suppose,  s’en serait échappé…..

    Ces vaccins, donc, fabriqué, sous la gouvernance des dictateurs, dont je vous parle, inspirent tellement confiance, que les peuples concernés ‘ (Chine et Russie, en premier chef) les refusent…..DANS TOUTES LES DICTATURES CE FÛT LE CAS…..

    Parallèlement à cela, sous l’effet du réchauffement climatique, il se passe un truc côté biodiversité, qui voit la flore bouger, géographiquement, en s’adaptant à la modification des temperatures.

 Politiquement, alors, ça donne quoi ?

   Les actionnaires, des laboratoires pharmaceutiques, qui sont fort inquiets si d’aventure, politiquement, on touche à leur business…

    Imaginez donc, qu’on mette sur pied, de quoi leur couper les vivres, quelle doit être leur inquiétude…. S’ils ne peuvent même plus s’en mettre plein les fouilles, sur la malheur des plus pauvres et des plus déshérités….

 Sur ce sujet, je vous recommande d’aller écouter ceci :

 Ça tombe pile poil, dites donc.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/zoom-zoom-zen/zoom-zoom-zen-du-vendredi-05-mai-2023-9304478

Au-delà, de la flore et de la faune sauvage, donc, d’un biotope déterminé, de potentielles nouvelles voies pour faire évoluer l’agriculture.

 Certains, de néo ruraux, quelquefois, et dans le BIO, toujours, et pour cause, s’y sont mis.

 Qu’il faille ouvrir de nouvelles, perspectives, sur ce oint, ne fait aucun doute.

 Alors, que sous l’effet du réchauffement climatique, on observe, que l’arboriculture française, est en grande difficulté, face à la sécheresse, déjà, alors, que nous ne sommes, qu’au printemps, qu’il soit nécessaire, de s’y adapter, sonne comme une évidence.

 Pour fournir, les laboratoire pharmaceutiques, et autres entreprises, travaillant dans ce secteur, il ne fait aucun doute, qu’il soit désormais, nécessaire, d’observer, ce qui est expliqué, dans l’ouvrage que je vous cite, avec la grande attention.

 Il est bon de préciser, toutefois, comme la nature est bienveillante, qu’une plante médicinale cultivée, voit son pouvoir thérapeutique, diminué, comparativement, à la ^me plante, qui a poussé, spontanément….

 Comme quoi, la nature, est infiniment plus sage, que les ministères de l’agriculture.

 Si ça, ça n’est pas un message fort, envoyé à l’être humain, je ne sais pas ce que c’est….

 Alors, oui, je réitère : L’ethnopharmacologie est le chainon manquant, entre la biodiversité et la santé publique.

Souffrance.

Il existe un risque considérable, à chercher de s'arranger de la violence qu'on ait subie, au bénéfice du coupable,

c'est de trouver légitime alors d'en infliger autant aux autres.

https://www.amazon.fr/s?k=francoise+Niel+Aubin&link_code=qs&sourceid=Mozilla-search&tag=firefox-fr-21

Date de dernière mise à jour : 31/08/2023