Françoise Niel Aubin, artiste.

élevage

Nous, paysans.

Par Le 26/02/2021

Nous paysans.

 Il y a quelques jours, France 2 a consacré une soirée entière, au monde paysan…. Une de plus.

 Je ne di pas ça, pour poser un œil critique, mais uniquement, pour faire le parallèle, avec les différents sommets, qui voient le jour, au sujet du réchauffement climatique, et des maltraitances, infligées, à la terre, alors, que ceux qui  détiennent, le pouvoir, heu, pardon, le pognon, et donc, le pouvoir, s’en tapent, complètement.

 Je reconnais, là, une certaine malhonnêteté (pour une fois, vous me pardonnerez), parce que dans le milieu agricole, politiquement, je veux dire, quoi, qu’on en dise, et même si c’est douloureux, pour les premiers concernés, quoi, qu’on en dise, les choses avancent. Lentement, mais surement. Plus que l’efficacité, face à l’immobilisme, côté réchauffement climatique, mais il est vrai, qu’on peut difficilement faire pire.

 Ha,  si, il y a pire, c’est vrai… trump, a dégagé, mais Bolsonaro, pas encore.

 Quoi qu’il en soit, donc, l’ouverture de la soirée, fût, un documentaire, qui à mes yeux, comme aux yeux, de beaucoup, est une véritable pépite.

 Et je n’ai aucun doute, sur le fait, que pour beaucoup,  dont je fais partie, beaucoup de larmes, ont du coupler, sur les joues, ce soir là.

 Sur le pont, chaque matin, à 4h ou 5h, chaque matin, je n’ai pu regarder que le début, arrêté à la guerre de 39/45, j’ai regardé la suite en replay, ainsi, que le débat, et pris des notes.

 Le problème, dans le monde paysan, aujourd’hui, moins qu’hier, cependant, c’est que beaucoup, refusent d’admettre, qu’il est souhaitable, plus encore, que dans n’importe quelle autre profession, peut être, d’avoir la sagesse,  de reconnaitre, qu’ils s’agisse là, toujours,  d’une approche philosophique « des » professions agricoles concernées, là où certains vous répondent sans aucune problème, qu’il ne serait affaire, que de gestion, de politique, ou de comptabilité.

 Non, il s’agit, en vérité, d’une approche, infiniment, plus altruiste, que cela, mais encore, faut il, être suffisamment honnête, pour le reconnaitre .

 Pourquoi, je donne cette précision ?

 Tout simplement, parce que dans le milieu agricole,  pas plus qu’ailleurs, cependant, on a aussi, de sacrées gueule de con,  bizarrement, toujours, adeptes, du productivisme industriel et dont la connerie, présentement exposée ici, est très exactement proportionnelle, à la taille de leurs tracteurs.

 Comme on dit vulgairement, « ça c’est fait ».

 Qu’est ce que le documentaire, m’a appris ?

Pas grand-chose, que je ne savais déjà, je dois dire, mais comme il a été précisé,  « des images, ont été posées, sur des choses, qu’on savait déjà, dans nos histoires familiales, et c’est ce qui nous a tellement touché ».

 Mais si, une chose….

 L’attachement, à la terre, en temps que propriétaire….

 L’explication, de l’extrême pénibilité, du travail de la terre, plus encore, en temps que métayer, à l’époque, au 19ième….

 Alors, une fois  devenu propriétaire, forcement, inutile, de préciser, à quel point, on y tient….

 « Fallait payer le fermage », comme il a été dit…. Je rajouterai, selon ce que répète encore ma maman, qui est encore en vie, « on avait fait le prêt aux jeunes », c’était  dans les années 50…..

 Bon, sinon, « remettre la biologie, au cœur de notre préoccupation ».

 Allez donc, seriner ça, à l’agriculteur intensif qui « arrose » ses cultures… mais la formule, me semble, parfaitement sensée, et explicite.

 La nature est « bien faite », et le sol est capable, de  se nourrir, par lui, même, sans ajouts, d’engrais, pour peu, qu’on soit plus soucieux, du choix, de ses cultures, et de leur qualité, que du volume produit.

 Ça n’est pas simple, on est bien d’accord, et changer de braquet, comme on dit, ne s’improvise pas…. Mais c’est déjà, par la prose de conscience, qui doit s’opérer la mutation, et on en revient donc à l’approche philosophique des professions concernées.

 Ensuite : «  De moins en moins d’animaux  vont à l’estive, la conséquence, c’est de plus en plus de zones sont désormais non entretenues, ce qui a pour conséquence,  réapparition des genêts, puis des arbustes, puis des arbres ».

 Et là, vous avez les écolos (dont je fais partie), qui répondront : « Parfait, vive le ré ensauvagement de certaines zones ».

 Sans réchauffement climatique, pourquoi pas ?

 Mais avec le réchauffement climatique, ALERTE,  à cause du risque d’incendie, en période de canicule…. Et chaque été, de plus en plus, on observe, que bien des forêts,  partent, en fumée, précisément, parce que certaines, zones, sont non entretenues.

 Ensuite, pour 5 départs d’activité en retraite,  4 seulement, sont reprises.

 Il semble, que les  exploitations, qui  sont les plus en difficulté, pour trouver un repreneur, seraient les exploitations laitières.

 Sur ce point, il va falloir, avoir, el courage politique, qui visiblement, fait défaut,  qui réside, dans le fait, qu’on ait fait croire, aux citoyen, pendant l’ère « agricole industrielle », que le lait, était bon, pour la santé…

 Ce qui est faux !

 Aujourd’hui, de plus en plus de personnes, ont un vrai problème d’intolérance, au lait de vache….

 Petit, détail, hélas, je fais partie de ceux là, alors, que ma mère, ne jurait, que sur ses vaches, et son lait, imaginez donc, mon dilemme, intérieurement…

 Intolérante, mais pas allergique, comme beaucoup .

  Il faut qu’il y ait, sur le point de la santé, publique, une véritable enquête, qui soit menée, pour sa voir, si le lait de brebis, ou de chèvre, présente, les même problèmes, que le lait de vache.

 Pourquoi, est ce important ?* parce que compte tenu, du réchauffement climatique, des chèvres, ou des brebis, ont des exigences, sur le plan nutritionnels, infiniment, moindre, que les vaches, et tous les bovins, qui, chaque années,  dans des régions, réputées verdoyantes, subissent, chaque années, la sècheresse, et des difficultés, de plus en plus grandes, pour les éleveurs, à parvenir à les nourrir, et se retrouvant, confrontés, à la nessécité, de les alimenter en fourrage, des le mois d’Aout !

 Ce problème, ne se poserait aucunement, avec des chèvres, ou des brebis.

 Sur le plan gustatif, leurs produits, n’ont rien à envier, au produits, issus du lit de vache.

 Pour ce qui concerne l’intolérance, ou l’allergie au lait de vache, il est bon de noter, que  plus le produit, est solide, fromages, frais, faisselle, fromages, de toute sorte, il n’ya plus de lactose, je crois, enfin, l’étude, explique, que plus le laitage, est liquide, plus l’intolérance, est vérifiée, plus le produit, est solide, plus il est toléré…

 Reste, alors, le problème de la surproduction du lait.

 Un autre problème doit être pris en considération, qui réside dans le fait, que plus le lait est riche en matière grasse, mieux il est payé, puisque ce gras, sert à faire la crème fraiche, qui elle-même sert à faire le beurre.

 Sachant, que l’industrie agro alimentaire, demande, une grande quantité, de beurre, on en arrive, à voir aller acheter du beurre, dans les pays, du nord de l’Europe….

 Certaines races de vaches, comme la Normande (je prêche pour ma paroisse…), donne du lait plus riche en matière grasse….

 On  a tenté de m’expliquer que les vaches «prim'holstein  »,  les fameuses, pisseuses de lait, selon la formule consacrée de Jean  Pierre Coffe, avec le fruit des dernières sélections, parvenaient désormais à donner un lait aussi riche que la normande, et je crois qu’on me l’a fait à l’oseille, comme on dit.

Moi, je ne  jure que par la normande.

Peut être, que pour certaine exploitations, envisager la reprise, en mode, « mutation  de la finalité », et que les chambres d’agriculture prévoient une forme de dédommagement, quand il y a un mode, « mutation », devrait être envisagé.

 Il semble en effet, si j’en crois l’expression qui a ensuite, été utilisée, et disant, « vous êtes éleveur de céréales », que les exploitations comprenant des animaux, trouveraient meilleurs accueil, auprès de repreneurs potentiels. "Mais il est possible, que j’ai  "mal lu entre les lignes" .

1 Mars 2021.

Au sujet de l'exportation agricole...

 il existe, de la part, de la responsable du syndicat agricole, un double discours, qui me semble regrettable...

 D'accord, elle a aussi,  de son poste, une vision economique, plus prepondérante, que sociale... Est ce bien logique, venant de la part, d'un responsable syndical, alors, qu'on comprendrait, cette posture, d'aventage, de la part, du ministre, dont, on peut regretter, d'ailleurs, qu'il ait été autant absent, de la soirée.

 Pour quelle raison, d'autre part, l'autre syndicat agricole agricole, "la confédération paysanne", n'était elle pas présente ?

https://www.confederationpaysanne.fr

   Ok, on va considérer, et je reconnais, que ça tient la route, que le fait d'avoir invité, les deux representants syndicaux, qui sont ideologiquement, opposés, aurait pu a voir, pour consequence, que le debat, ne soit alors, orienté, que politiquement, alors, que l'objectif de la soirée, n'etait pas de cet ordre.

 Mais je pense que certains, ne paient rien pour attendre.

Pendant le reportage, qui detaillait l'historique de l'agriculture, selon les differentes guerres, notamment, on a pu voir, à quel moment, juste apres la première guerre mondiale, l'industrie chimique, par les angrais, deja, m^me si elle etait embryonnaire, commençait ses pionts, pas encore conscients, eux même peut être, du fait, que les politiques, pendant quasiment un siecle, leur deroulerait, le tapis rouge, au point d'enraciner, des multinationles, telles MONSANTO, dan nos paysages buccoliques.....

 Avoir vu, ainsi, manipuler les anglais, à la main, avec le semoir, et voir les particules, qui leur vlaient, à hauteur de poumons, j'en ai froid dans le dos...

 On a pu voir aussi, les témoignages des descendants, qui expliquaient, (je pensais à ma propre mère), à quel point un prétendant, venant de simplement, un autre canton, ou d'une autre region, etait alors, "un ors'un"..... Oui, je parle cauchoix, accessoirement....

 En ces temps, où l'on aimerait, faire porter, à toux ceux, qui y trouvent profit, le delit de communautarisme, je dois a vouer, quà la vue de ce passage, on a du être assez nombreux, à constater, à quel point, deja, à l'epoque, le mot "communautarisme", était ma foi, parfaitement integré, dans la nation française, comme il l'est, n'importe où, sur cette terre, des lors, que des l'enfance, on vous interdit, de vous enrichir, de la moindre différence.

 Je recommande d'aller voir, ou revoir, sur France 3, un superbe documentaire, aussi precieux que celui ci, sur l'histoire des Alpes, qui  a été diffusé, il y a quelques jours, et qui, selon ce même principe, propose des ducuments d'archivre de grande valeur, afin de permettre le croisement, précisément, avec ce documentaire là, et qui interpelle...

 Je veux parler, de l'opportunisme, politique, qu'il vienne, du haut de la pyramide, c'est  dire, au niveau gouvernemental, ou qu'il vienne, du regional...

 Je veux parler de la dérive industrielle, qu'on observe....

 En effet, qu'il s'agisse de la montagne, et de ses usine à touristes par l'industrie du ski, en hiver, là, où le réchauffement climatique a pour conséquence, "qu'ils ne reconnaissent plus leur montagne", par la fonte des glaciers et le manque de neige, ou qu'il s'agisse des étendues à perte de vue, des usines à céréales dans la Beauce, apres le remembrement, et jusqu' à maintenant.... le probleme, reste le même, la vision industrielle.

 Avoir exigé des agriculteurs français, qu'ils nourrissent la population, était cohérent, les encourager à l'industrie, encore jusqu'à ces dernieres décennies, pour moi, une hérésie, surtout dans de telles proportions, et une ornière (parlons tracteurs !) dont les factures demeurent impayées, non seulement, pour les agriculteurs eux même, mai aussi par voie de conséquence, par tout le peuple français.

  Je vais aller revoir les deux documentaires, parce que je dois avoir oublié des trucs.

INTRAITABLE.....

Inspiré de faits réels.

   Un agriculteur BIO, "depère en fils", qui plus est, se voit contraint, par l'administration sam nitaire, d'appliquer, à ses vignes, un traitement chmique, antinomique, avec son label BIO,  juridiquement, mais surtout, idéologiquement.

   C'est qu'il ne l'entend pas de cette oreille, et refuse d'accepter, la sentence....

   Il va donc aller en Justie, pour finanlement avoir gain de cause.

 C'est ce soir, sur France 2, avec ensuite, le débat.

https://www.franceinter.fr/emissions/la-bande-originale/la-bande-originale-01-mars-2021

https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/intraitable-sur-france-2-l-histoire-d-emmanuel-giboulot-le-viticulteur-insoumis-01-03-2021-8426649.php

 Mon point de vue, sans être specialiste, et sans vouloir de façon bornée et intégriste, je dirai, m'opposer aux traitements chimiques, je tiens juste à rappeller, qu'à aucun moment, les traitement "préventifs", sur quelque maladie que ce soit ne sont efficaces, sur le long terme.

 En effet, la nature est bien faite, et si on déséquilibre gravement, la biologie d'un milieu, en s'attaquant à une maladie donnée, on s'attaque aussi, et l'on tue, un éventail de  bactéries, et autres organismes vivants, qui eux sont salutaires, pour l'équilibre biologique du milieu dont il est question.

 C'est tres exactement, ce qui se produit, en ce qui concerne l'utilisation, des antibiotiques.

 Plus vous posez de subtances chimiques, plus vous déséquilibrez, et plus vous favorisez l'apparition de maladies qui sont connues, et vous encouragez par cette posture la mutation de certaines d'entre elles, comme on peut le voir avec le covid,  même s'il s'agit, de maladie touchant des animaux, et pas des végétaux, le parallèle peut parfaitement être fait.

 Actuellement, sous l'angle du covid, par exemple, nous assistons à une recrudescence, de ce qu'on appelle, "l'hygiènisme", qui m'inquiète personnellement, beaucoup, puisque non contants de laver ce qui devrait l'être,  avec des detergeants doux, et parfaitement suffisants, certains frisent alors la pathologie mentale, desinfestent tout, et n'importe quoi, pour se rassurer, favorisant alors ce dont je parle plus haut, c'est à dire, un véritable déséquilibre biologique, favorisant alors, la résistance de virus, mais aussi, prédisposant, à leurs mutations.

 Car oui, laver et désinfecter, à l'exces, ça relève pour information de la pathologie mentale, n'en deplaise à certains, je ne parle pas, là, du milieu médical, ça va sans dire, mais bien, des intérieurs des maisons, pour ne citer que celà....

 Se laver les mains, à chaque fois, qu'en rentre dans son intérieur, deja, me semble tout à fait basique, et suffisant, sans avoir à desinffecter, tout et n'importe quoi.

 Je sais bien que financierement, certaines multinationales,  se font des couille en or sur le covid, tout comme tous les groupes financiers du numérique, mais personne ne vous oblige à aller en ce sens.

A la conversion tu te désoudras, sinon, je le dis à papa !

Par Le 08/02/2021

  Bon, me voilà encore en train de remettre l'ouvrage sur le métier, mais comme je suis du genre tellement chiante, quand je suis certaine d'avoir raison, que je vous ferai chier, promis, autant que necessaire...

  Oui, j'ai bien dit, "je'le dis à papa", c'est pour la rime, aussi, pour mon papa, surtout, mais aussi, pour que certains pigent bien que je connais un temps soit peu mon sujet, en tout cas, suffisemment pour puiser dans notre historique familial (je ne suis pas seule), la motivation qui justifie, mes positions dans le domaine.

  Je parlais, il  y a quelques années, du label "conversion"...

  J'avais été très amusée,  et je ne devais pas être la seule je suppose, d'observer qu'au sein de la FNSEA, bizarrement, ils n'étaient pas très chauds, pour revendiquer ce label, qui à nos yeux, pourtant, semblait bien au contraire, parfaitement adapté à la situation, puisqu'en effet,  c'est bien purement et stristement d'idéologie, dont il est question, et j'ose même l'affirmer, de philosophie, qui est à l'origine, d'une posture qu'on adopte, au sein d'une profession, cele d'agriculteur...

   Est ce qu'on accepte en effet, d'entrer dans le moule, qu'on nous avait imposé, depuis les années 50, d'une agriculture sensée devenir stristement industrielle, et continuer à aller droit dans le mur,  ou bien est ce qu'on accepte l'idée selon laquelle il existerait une autre agriculture, qui au delà de n'être qu'une simple idée de bobos de gauche, bien sûr, (ha, la sale bête !), il existerait effectivement, d'autres alternatives, qui présenteraient d'autre part, l'énorme aventage de redonner à l'agriculture française, non seulement, ses lettres de noblesse, mais surtout, au sens le plus virginal du mot, sa dignité, à celui, qui n'a jamais eu pour autre ambition, que de  vivre de sa terre, ou de celle qu'il loue, humblement, simplement, et sans prendre si possible, chaque matin, un demi verre de medicaments, anxiolytiques, ou antidepresseurs, quand il a la chance, que la tentative de suicide, ne l'ai pas chopé, au coin du bois,  pire que le loup vert, qui aurait accompagné, sainte Austreberthe....

   Petite parenthèse... On se la pète, à sainte Austreberthe, avec notre loup vert. Promis, c'est pas pour faire chier les agriculteurs, s'il etait vert dans la légende... C'est juste, un heureux hasard.... Et uniquement une légende, je le précise.  

   Toujours est il, qu'en dehors des magasins "la vie claire", qui affichaient, si je ne me trompe, le mot "conversion", pour vendre les fruits d'exploitation, qui opéraient ce changement, nulle part ailleurs, ce mot, n'est employé...

   Ils disent plutot, "du bout de la pancarte", equivlence, du "bout des lèvres", "non traités, pares récolte", ce qui est lu par consommateur, de la façon suivante "donc, avant recolte, ils mettent la sauce"....

 En somme, une forme de green washing, qui ne dit pas son nom, mais qui nous prend bien pour des cons...

 Ho, putain, ça rime, pour vous, c'est mauvais signe.

  Il est vrai que pour le "consom'acteur",  lui indiquer un chemin compliqué, pour pouvoir le perdre, est plus tentant, que de lui indiquer un chemin simple, comme un mot simple, comprehensible de tous...

 "Logique de  burelier", version ministère de l'agriculture, je suppose, non  ?

 Enfin, c'est ce qu'en aurait dit zezette, du père Noël est une ordure, c'est clair, comme la vie claire.

 Alors, on va, RE EXPLIQUER AUX MONSIEURS ENCRAVATTES.....

 Quand un agriculteur, souhaite passer au BIO...

 Le fait de vouloir opérer cette mutation, d'ordre idéologique, s'organise sur plusieurs années, (trois, ou cinq, je ne sais plus)....

   La raison c'est que la terre en question étant porteuse de substances chimiques, il faut donner le temps necessaire, à ce que les eaux de pluie, par un nettoyage naturel, fasse disparaitre la moindre trace de ces produits chimiques.

  Pendant cette période de conversion, donc, les récoltes ne peuvent pas encore, être labellisées BIO, pour cette raison, mais pour autant, elles sont consommables, et donc, peuvent être proposées à la vente.

  C'est la raison pour laquelle, comme on m'avait sollicitée sur le sujet, j'avais préconisé, ce label. CONVERSION, le monsieur te dit !

  Oui, conversion, ça évoque, la religion, ou la foi, et alors ?

  On peut parfaitement, être converti à une ideologie, sans pour autant, qu'il ne s'agisse de religion, que je sache.

  Si vous n'êtes pas foutus de comprendre ça, faite quelque chose, allez consulter, je vous prie, qu'on vous arrache ces saloperies d'oeillères, sinon, vous ne vous en tirerez jamais.

 BREF.....

 De plus en plus, donc, l'agriculture française mute, n'en deplaise à certains..... La superficie de l'agriculture dédiée, au BIO, s'agrandit de plus en plus.

 la prochaine fois, je vous decortiquerai,  version scalpel, les raisons profondes, qui justifient veritablement, que les agriculteurs concernés, refusent,  d'utiliser, le mot "conversion", au profit de l'autre expression à la con...

Biodiversité terrestre.

Par Le 06/09/2024

Certains trouveront à redire, sur le fait que je n'inclue pas la biodiversité aquatique, mais j'y ai consacré un autre chapitre.

 Le constat est le suivant, les forêts sont menacées, d'une part par le réchauffement climatique, par le développement de certaines maladies, dues à ce rechauffement et la prolifération de certains insectes, pendant que le manque d'eau, de façon plus générale, les met en péril.

 Une autre menace, réside dans le fait qu'elle est appréhendée par le politique, comme une source de revenu, autant dire, comme une industrie, ne dit on pas "industrie forestière", par le bois qu'on y abat, le problème résidant dans le fait qu'un chêne, ou un merisier mettent  des siecles ou des décennies, à parvenir adultes, et être abattus, quand des résineux, mettent dix fois moins de temps, pour pouvoir être exploités.

Le fait, de mettre à blanc des zones gigantesques, pour n'y faire pousser que des résineux est une plaie, parce que sous les resineux, il n'existe aucune biodiversité.

 En effet, le taux d'acidité pour commencer, limite la quantité de biodiversité, mais surtout, comme ils sont persistants, et non caduques, comme le melèze, en montagne, la chute des aiguilles, qui n'existe pas, n'offre aucune opportunité, à voir se developper une flore, pousser sous les branches, comme c'est le cas, sous les feuillus, ou sous le feuillages marcescents.

 Les feuillages marcescents, sont ceux qui une fois arrivés à l' automne, meurent, mais restent sur l'arbre pendant l'hiver, comme le charme ou le hêtre, qui l'un comme l'autre, sont utilisés pour faire des haies champêtres.

 Il est bon de noter que ce caractère ne se produit, que quand le charme ou le hêtre sont conduits en haies, mais tres peu quand ils poussent librement, comme n'importe quel autre essence.

 Si vous vous promenez sous une plantation de resineux, quelle que soit la période de l'année, c'est assez simple, y compris, quand il faut beau, il fait nuit en dessous, et ce qui règne, c'est la mort, ni plus ni moins.

 Toute forme de monoculture, quelque soit l'endroit, est toxique, pour la biodibversité, je dis bien TOXIQUE.

 Pour ce qui concerne le bois de chauffage,  quand il est prélevé en forêt, il faut impérativement que le milieu agricole, surtout, quand il y a des animaux, qui sont à l'herbe pendant la belle saison, replantent des haies, plutot que des arracher,  mais surtout, y prévoient des essences, qui peuvent être menés en tétards, de telle sorte, qu'à intervalles réguliers, tous les trois ou quatre ans, généralement, les têtards puissent être coupés, pour produire du bois de chauffage.

 Ca doit se faire plus encore, en lisière de bois et de forêt, parce que l'acces aux véhicules, en est facilité, mais surtout, quand il y a des animaux à l'herbe, parce qu'il arrive trop souvent, qu'on observe des troupeaux en pleine capicule, et des animaux, qui n'ont plus aucun arbre, pour se mettre à l'ombre.

 Il faut veiller surtout à ne mettre aucun clous, ou fils barbelés,  sur aucun arbre, parce que ça ne fait vraiment pas bon ménage avec les chaines des tronçoneuses, et ça crée des plaies, et des chancres sur les arbres.

 En dehors, des faits dénoncés plus hauts, relatifs à la monoculture, il faut noter que ce qu'on appelle "le carburant vert", notamment, pour fournir, les transporteurs aériens, en aucune façon comme c'est prétendu, ne concerne que des déchets verts, mais bien, surtout, des arbres, bien vivants, y compris à l'autre bout du monde, et ces arv  bres, sont ramenés, sur le sol français, pour fabriquer ce carburant, prétendu vert.

https://www.facebook.com/100064690446729/posts/284956306371285/

  Un autre fléau arrive, qui concerne les champs, de panneaux photovoltaïques.

 Je ne pretends pas, comme certains, qu'il soient toxiques pour le paysage, ce qui serait un moindre mal.

 Mais abattre des arbres, pour y planter des forêts de panneau photovoltaïques, non, y'a un truc, qui cloche.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/09/05/protection-de-la-biodiversite-faut-il-changer-les-regles-d-implantation-des-centrales-solaires_6304517_3244.html?fbclid=IwY2xjawFIBnhleHRuA2FlbQIxMQABHSw0ctDlsyZt6Ieo8-Hg8aAW8JsPMipm7gIYKZ2ptrX84pZ79td0dYGbfw_aem_bHSPP0c5N0U-M6FVbGS9vQ

 Alors, où les implanter ?

 Et bien, sur les furoncles, qu'on voit fleurir à l'abord des villes, les centre commerciaux, les grandes surfaces, et tous les batiments industriels, pour commencer. Ca devrait être obligatoire, et laisser les forêts tranquilles.

Le concours  DUCOBU, pour les écoles.

https://jagisjeplante.fnh.org/?utm_source=brevo&utm_campaign=Lancement%20Concours%20JJP%20saison%203%20-%20sympathisants&utm_medium=email

Grands accords commerciaux.

Par Le 14/03/2024

 Nous vivons, il est vrai, avec le souvenir des plus traumatisants, de la crise de la vache folle.

 Cette crise était due, au fait que les vaches alors, pouvaient être nourries avec des farines animales, ce qui était et est toujours un non sens, pour un herbovore, quel qu'il soit. Je précise, herbovore exclusivement, donc, bovins, caprins, et ovins.

 Les volailles, par exemples, ne sont pas concernées, parce qu'elles sont omnivores.

 Aujourd'hui, il semble bien que la législation de certains pays, soit des plus obscures, sur le sujet, notamment au Canada, alors que justement, le CETA, met en lumière, une discordance de la legislation, entre celle du canada, et celle de la France.

https://twitter.com/Francois_Ruffin/status/1148668825401024515

 Pour aller plus loin sur les risques sanitaires, qui sont le problème le plus difficile, que rencontrent les adeptes des élevages intensifs, je vous recommande une émission que j'ai écoutée, ces jours derniers, qui parlent des moisissures de fromage...

 Oui, certains, pensent peut être qu'on s'éloigne du sujet, et bien pas du tout, justement, bien au contraire.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-lundi-11-mars-2024-5811672

 Dans cet épisode, il est expliqué scientifiquement que l'apauvrissement des souches de moisissures, qui sont sellectionnées, pour produire tel fromage ou tel autre, est parfaitement assimilable, à l'apauvrissement génétique des races ou souches génétiques de tel animal d'elevage ou tel autre, comme dans n'importe quel elevage industriel, et que la conséquence premiere réside, dans une diminution du systeme immunitaire chez ces animaux, et donc, induit une médicalisation, de plus en plus importante en quantité, mais aussi, une profilaxie qui devient de plus en plus difficile à mettre sur pied.

 Et ceci, dans quel objectif ?

 Celui de répondre à des normes sanitaires, ou flattant l'oeil (un camemenbert bien blanc, plutot que gris) et répondre à cette vision industrialisée de l'agriculture, d'aujourd'hui, conforme à ces grands accords commerciaux.

 

Potager : Si on semait ?

Par Le 28/03/2023

Une superbe émission, que j'ai découverte hier soir, sur France 5.

https://www.france.tv/documentaires/voyages/4713736-potagers-si-on-semait.html

 Il est important d'observer qu'internet, ouvre de nouvelles perspectives pour cultiver son jardin, que ce soit pour apprendre, ou que ce soit pour transmettre, trouver la motivation, en somme, communiquer sur le sujet.

 Tous ces différents aspects sont abordés, et j'ai trouvé ça passionnant.

 Une remarque cependant, au sujet de la récolte des graines de courges, sauf erreur de ma part, je crois, qu'elles s'hybrident entre elles, rendant ainsi, l'exigence incontournable de cultiver chacune des variétés, sous un voile, ou dans un des filets suspendus,  et fermés, pour empêcher des hybridations que ne manqueraient pas de faire les pillinisateurs, les plants obtenus étant soit stériles, soit inmangeables, et donc, fisant perdre la varité d'origine du cucurbitacée en question.

 C'est en tout cas, ce que j'ai vécu,  et l'énorme potimarron obtenu, était infecte. Le phénomene se produit, notamment, avec les courges d'ornements, qui s'hybrident, avec d'autres courges, rendant les fruits supposés commestibles,  alors qu'il ne le sont pas.

 Il faut savoir, que ce problème d'hybridation, ne se pose que pour les cucurbitacées, mais absolument pas pour les tomates.....Où vous pouvez alors, cultiver, celles ci, les unes à côté des autres, sans le moindre robleme. par contre vous devez être hyper rigoureux, côté etiquettage, au moment, de la recolte des graines, et de leurs manipulation, tout au long du processus.

 Sinon, pour les cucurbitacées, c'est comme la chaine du livre, et les editeurs. MAIS QUEL BORDEL......

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BASTA, pour une autre PAC !

Par Le 04/03/2021

  Les choses, sont ainsi faite, actuellement, qui reside dans le fait que les aides, sont accordées, sur le plan européen selon la superficie, favorisant, ainsi, la version industrielle de l'agriculture. Et c'est tres grave, parce que c'est incoherent, face à la demande du locavore, c'est à dire rapprocher, geographiquement, le producteur, du consommateur.

  Certaines fermes, aujourd'hui, ne trouvent pas de repreneur, alors, que certaines, pourraient être redevisées, pour proposer à la reprise, par ce fait, pluieurs repreneurs, qui ont besoin,  de superficies moindres.

  Il faut aller voir, aussi, le site, TERRE DE LIEN, qui justement, oeuvre en ce sens...

https://terredeliens.org

  Mais encore faut il que la politique européenne sur ce sujet, change son fusil d'épaule.

https://pouruneautrepac.eu/nos-campagnes/campagne-basta/