Françoise Niel Aubin, artiste.

Biodiversité terrestre.

apifnielaubin Par Le 06/09/2024 à 19:16

Certains trouveront à redire, sur le fait que je n'inclue pas la biodiversité aquatique, mais j'y ai consacré un autre chapitre.

 Le constat est le suivant, les forêts sont menacées, d'une part par le réchauffement climatique, par le développement de certaines maladies, dues à ce rechauffement et la prolifération de certains insectes, pendant que le manque d'eau, de façon plus générale, les met en péril.

 Une autre menace, réside dans le fait qu'elle est appréhendée par le politique, comme une source de revenu, autant dire, comme une industrie, ne dit on pas "industrie forestière", par le bois qu'on y abat, le problème résidant dans le fait qu'un chêne, ou un merisier mettent  des siecles ou des décennies, à parvenir adultes, et être abattus, quand des résineux, mettent dix fois moins de temps, pour pouvoir être exploités.

Le fait, de mettre à blanc des zones gigantesques, pour n'y faire pousser que des résineux est une plaie, parce que sous les resineux, il n'existe aucune biodiversité.

 En effet, le taux d'acidité pour commencer, limite la quantité de biodiversité, mais surtout, comme ils sont persistants, et non caduques, comme le melèze, en montagne, la chute des aiguilles, qui n'existe pas, n'offre aucune opportunité, à voir se developper une flore, pousser sous les branches, comme c'est le cas, sous les feuillus, ou sous le feuillages marcescents.

 Les feuillages marcescents, sont ceux qui une fois arrivés à l' automne, meurent, mais restent sur l'arbre pendant l'hiver, comme le charme ou le hêtre, qui l'un comme l'autre, sont utilisés pour faire des haies champêtres.

 Il est bon de noter que ce caractère ne se produit, que quand le charme ou le hêtre sont conduits en haies, mais tres peu quand ils poussent librement, comme n'importe quel autre essence.

 Si vous vous promenez sous une plantation de resineux, quelle que soit la période de l'année, c'est assez simple, y compris, quand il faut beau, il fait nuit en dessous, et ce qui règne, c'est la mort, ni plus ni moins.

 Toute forme de monoculture, quelque soit l'endroit, est toxique, pour la biodibversité, je dis bien TOXIQUE.

 Pour ce qui concerne le bois de chauffage,  quand il est prélevé en forêt, il faut impérativement que le milieu agricole, surtout, quand il y a des animaux, qui sont à l'herbe pendant la belle saison, replantent des haies, plutot que des arracher,  mais surtout, y prévoient des essences, qui peuvent être menés en tétards, de telle sorte, qu'à intervalles réguliers, tous les trois ou quatre ans, généralement, les têtards puissent être coupés, pour produire du bois de chauffage.

 Ca doit se faire plus encore, en lisière de bois et de forêt, parce que l'acces aux véhicules, en est facilité, mais surtout, quand il y a des animaux à l'herbe, parce qu'il arrive trop souvent, qu'on observe des troupeaux en pleine capicule, et des animaux, qui n'ont plus aucun arbre, pour se mettre à l'ombre.

 Il faut veiller surtout à ne mettre aucun clous, ou fils barbelés,  sur aucun arbre, parce que ça ne fait vraiment pas bon ménage avec les chaines des tronçoneuses, et ça crée des plaies, et des chancres sur les arbres.

 En dehors, des faits dénoncés plus hauts, relatifs à la monoculture, il faut noter que ce qu'on appelle "le carburant vert", notamment, pour fournir, les transporteurs aériens, en aucune façon comme c'est prétendu, ne concerne que des déchets verts, mais bien, surtout, des arbres, bien vivants, y compris à l'autre bout du monde, et ces arv  bres, sont ramenés, sur le sol français, pour fabriquer ce carburant, prétendu vert.

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  Un autre fléau arrive, qui concerne les champs, de panneaux photovoltaïques.

 Je ne pretends pas, comme certains, qu'il soient toxiques pour le paysage, ce qui serait un moindre mal.

 Mais abattre des arbres, pour y planter des forêts de panneau photovoltaïques, non, y'a un truc, qui cloche.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/09/05/protection-de-la-biodiversite-faut-il-changer-les-regles-d-implantation-des-centrales-solaires_6304517_3244.html?fbclid=IwY2xjawFIBnhleHRuA2FlbQIxMQABHSw0ctDlsyZt6Ieo8-Hg8aAW8JsPMipm7gIYKZ2ptrX84pZ79td0dYGbfw_aem_bHSPP0c5N0U-M6FVbGS9vQ

 Alors, où les implanter ?

 Et bien, sur les furoncles, qu'on voit fleurir à l'abord des villes, les centre commerciaux, les grandes surfaces, et tous les batiments industriels, pour commencer. Ca devrait être obligatoire, et laisser les forêts tranquilles.

Le concours  DUCOBU, pour les écoles.

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